Wegovy et médicaments pour maigrir : avis, prix et efficacité

Ozempic, Wegovy et Mounjaro pour maigrir : ce qu’il faut comprendre

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Pourquoi prendre un médicament pour maigrir ?

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On ne vous apprendra rien en vous disant qu’un médicament sert à soigner une maladie ou un problème de santé.

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Mais il faut rappeler que toute la nuance est là : à l’intersection entre une perte de poids pour se remettre en forme, et les complications.

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Les traitements médicamenteux contre l’obésité sont avant tout une option médicale. Elle est encadrée et destinée à accompagner les personnes en réelle difficulté face à leur poids.

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On parle de situations où :

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• L’indice de masse corporelle (IMC) est supérieur à 30 (obésité).
  
  
• L’IMC est supérieur à 27 avec des complications de santé associées : diabète de type 2, hypertension, apnée du sommeil, douleurs articulaires…
  
  
• Les changements d’alimentation et d’activité physique, même bien menés, n’ont pas suffi.

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“Je mange sainement, je bouge beaucoup, je dors suffisamment… et pourtant je ne perds rien. J’ai même essayé le jeûne intermittent. Je ne sais plus quoi faire”. Voilà un exemple de situation à laquelle font face les médecins en consultation.
Et c’est dans ce cas bien précis qu’ils peuvent considérer les médicaments pour maigrir. Mais pas avant !

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⚠️ Un médicament n’est pas un comprimé miracle. C’est un outil d’accompagnement principalement adapté pour les personnes en situation d’obésité. 

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L’idée : agir sur les hormones et assister le métabolisme. Donc non sans risques pour la santé !

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Et non sans risques sur le physique : vous connaissez l’expression “Ozempic face” ? C’est l’apparition d’un visage amaigri, creusé et parfois vieilli chez les personnes ayant perdu du poids trop rapidement sous l’effet du médicament.

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Des joues creusées, une peau moins élastique et des traits du visage plus marqués… De quoi vite déchanter !

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Quels sont les médicaments disponibles en France ?

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Comme le taux d’obésité est malheureusement en constante augmentation, les recherches s'accélèrent sur le sujet. On découvre de nouveaux médicaments pratiquement tous les mois. Et vous en avez sûrement vu passer sur les réseaux avec de belles promesses… D’ailleurs on vous recommande de suivre ces comptes Instagram de coach sportif pour faire le tri parmi les parasites 🦟

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Certains médicaments ont plusieurs années de recul pour prendre en charge l’obésité. D’autres n’en sont encore qu’à leur coup d’essai. Alors attention à bien vous faire accompagner si vous vous posez la question !

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Voici les principaux médicaments qui sont actuellement autorisés en France :

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• Orlistat (Xenical) : il agit localement dans l’intestin en bloquant l’absorption des graisses. Peu d’effets sur l’appétit, mais des résultats modérés à condition de suivre un régime pauvre en graisses.
  
  
• Liraglutide (Saxenda) : un analogue du GLP-1, une hormone qui régule la satiété. Il agit sur le cerveau pour aider à réduire l’appétit. C’est un traitement qui s’administre par injection quotidienne.
  
  
• Bupropion/Naltrexone (Mysimba) : ce duo agit sur le système nerveux central pour diminuer les fringales et réguler les circuits de la récompense liés à la nourriture.
  
  
• Sémaglutide (Wegovy et Ozempic) : c’est LA star du moment. Cette molécule à base de GLP-1, aussi utilisée dans le diabète, a montré une perte de poids impressionnante dans plusieurs études. Ils se prennent une fois par semaine par injection.
  
  
• Tirzépatide (Mounjaro) : le petit nouveau qui combine deux hormones (GLP-1 et GIP) pour une meilleure efficacité. Son arrivée sur le marché français est forcément très attendue.

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Il faut noter que chaque médicament a son propre mécanisme d’action, ses bénéfices et ses effets secondaires parfois graves. Encore une fois, ce n’est pas quelque chose qu’il faut prendre à la légère. On ne veut pas choisir “le plus puissant”. Mais, sur prescription médicale, celui qui est le plus adapté à votre profil, vos antécédents et votre mode de vie.

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Par exemple, l’Ozempic est un médicament destiné aux personnes atteintes de diabète. Il est détourné pour maigrir sans autorisation officielle pour cet usage. 

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J’ai récemment parlé du GLP–1 pour maigrir en vidéo :

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Et comme la plupart de ces médicaments, à l’arrêt du traitement, une grande partie des kilos perdus refont surface. Voilà qui souligne une fois de plus l’importance d’un accompagnement médical rigoureux.

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Autre point important avec ces traitements contre l’obésité (et pas des moindres), c’est qu’aucun d’entre eux n’est remboursé par l’assurance maladie en France, à part l’Ozempic pour les diabétiques. 

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Et c’est un budget !

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On s’est amusé à comparer le prix de l’ozempic, du wegovy etc. : 

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Qui peut prescrire un médicament pour perdre du poids ?

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Qui dit autorisé ne dit pas disponible à la vente !

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Imaginez les dégâts sur la santé si chacun pouvait se servir en rayon comme pour du doliprane…

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En France, seuls les professionnels de santé sont autorisés à prescrire ces médicaments, et selon certaines conditions strictes. 

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En général, la première prescription doit être faite par l’un de ces professionnels :  

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• Un médecin généraliste formé à la prise en charge de l’obésité
  
  
• Un endocrinologue
  
  
• Un diabétologue
  
  
• Un spécialiste en nutrition

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Et pour s’assurer du bon déroulement, suivi obligatoire ! 

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On ne vous donnera pas de médicaments sans vous revoir les mois qui suivent. C’est-à-dire avec des consultations régulières pour évaluer l’efficacité, ajuster la dose, vérifier la tolérance, et accompagner vos changements d’habitudes de vie pour une perte de poids durable.

Ozempic VS Mounjaro : les différences et les risques entre ces traitements phares

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On ne présente plus ces deux célébrités tendances dans le monde de la santé. Mais qu’est-ce qu’ils ont de si particulier ? Est-ce qu’ils sont vraiment efficaces ? Surtout, à qui sont-ils destinés ?

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Petit comparatif !

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Ozempic : un traitement de fond contre le diabète (type 2)

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L’Ozempic est un médicament du laboratoire Novo Nordisk introduit sur le marché français depuis 2019. On vient d’en parler, il est utilisé pour traiter le diabète de type 2. Et donc en aucun cas pour maigrir, malgré tous les détournements qui persistent à cause des réseaux sociaux. 

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L’animatrice Sharon Osbourne (animatrice TV britannique) a d’ailleurs fait les frais des effets secondaires de l’Ozempic en l’utilisant pour maigrir. Dans une interview, elle révèle avoir subi des nausées permanentes pendant plusieurs mois. Même si elle a perdu 14 kilos avec ces injections, elle insiste sur le fait que “les médicaments ne sont pas toujours la solution”.

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Hors prescription pour le diabète, passez votre chemin !

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Le sémaglutide qui est sa substance active permet de réguler à la fois la glycémie et la satiété en imitant une hormone intestinale naturellement présente dans notre corps (GLP-1).

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Plus précisément :

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• Il ralentit la vidange gastrique, ce qui donne un effet de satiété prolongée.
  
  
• Il stimule la sécrétion d’insuline et limite la production de glucose par le foie.
  
  
• Il agit sur le cerveau pour réduire l’appétit.

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Quand il est prescrit sur ordonnance, ozempic s’administre par injection sous-cutanée une fois par semaine. 

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Mais parmi les effets secondaires fréquents on retrouve les nausées, les maux de ventre et de tête, la fatigue ou encore la constipation ou la diarrhée. Ça mérite d’être dit !

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Ils sont moins fréquents mais peuvent aussi survenir : 

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• une diminution de l’appétit
• des douleurs abdominales
• des ballonnements
• des reflux gastriques
• des calculs biliaires
• des vertiges
• une augmentation des enzymes pancréatiques

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Dans les cas bien plus rares (mais très graves), l’Ozempic peut provoquer une pancréatite, une obstruction intestinale ou encore des réactions allergiques sévères.

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Mounjaro : une nouvelle génération de traitement

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Là, on parle d’une nouvelle vague des traitements anti-obésité (donc moins de recul sur les études).

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Mounjaro est le nom commercial du tirzépatide. Ce médicament va encore plus loin que Wegovy ou Ozempic puisqu’il agit sur deux hormones à la fois : le GLP-1 et le GIP.

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Leur objectif en commun :

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• Réduire la faim de manière très marquée
  
  
• Améliorer la régulation de l’insuline
  
  
• Optimiser le métabolisme global

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Pour ce qui est des résultats, certaines personnes ont atteint jusqu’à 22% de perte de poids sur une année. C’est plus que la chirurgie bariatrique, mais sans avoir à passer au bloc opératoire.

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Alors forcément, ça séduit !

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Par contre ce n’est toujours pas un traitement anodin. Il s’injecte une fois par semaine et peut entraîner des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales et des sensations de fatigue.

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Il est plus rare que le Mounjaro provoque des problèmes rénaux et des troubles digestifs sévères, mais c’est possible. Comme l’Ozempic, le suivi médical est indispensable, surtout en début de traitement. 

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En dehors de ce cadre médicalisé, une fois de plus, passez votre chemin !

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Perdre du poids durablement et en restant en bonne santé devrait être notre priorité collective. Et on a des solutions pour ça.

Alternatives et compléments aux médicaments

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Heureusement, beaucoup préfèrent explorer d’autres alternatives avant d’envisager un traitement médicamenteux. Les régimes en font partie. Le jeûne intermittent aussi par exemple. 

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Comme on l’a vu, les médicaments viennent interagir avec les hormones et le métabolisme pour accélérer la perte de poids, et chacun réagit différemment à ce bouleversement biologique (en bien ou en mal).

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Et les autres options ? 👇

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Chirurgie bariatrique : pour qui et quand ?

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Quand le surpoids devient un réel obstacle à la santé et à la vie quotidienne, la chirurgie bariatrique peut être une option à envisager. Attention : elle n’a rien d’une solution de facilité. Ce n’est pas non plus un raccourci. C’est un vrai parcours encadré par une équipe médicale et souvent sur plusieurs mois.

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Concrètement, il existe trois grandes interventions :

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• La sleeve gastrectomie : on retire une partie de l’estomac pour réduire la sensation de faim.
  
  
• Le bypass gastrique : une partie de l’estomac et de l’intestin est contournée pour limiter l’absorption des calories.
  
  
• L’anneau gastrique : un anneau est placé autour de l’estomac pour ralentir le passage des aliments.

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A savoir que la chirurgie est réservée aux personnes avec un IMC supérieur à 40, ou à 35 en cas de maladies associées (diabète, hypertension…). Et surtout, surtout, surtout, elle est accompagnée d’un suivi nutritionnel, psychologique et parfois même d’un bilan cardiaque.

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Ce type d’intervention peut transformer votre physique, mais il ne remplacera jamais une hygiène de vie équilibrée. Une aide supplémentaire, certes, mais à condition de jouer le jeu sur le long terme. Vous cherchez à en savoir plus ? 

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Les sources pour maigrir en autonomie se trouvent dans les meilleurs livres pour perdre du poids 📚

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Compléments alimentaires et autres solutions

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Pas loin des médicaments pour maigrir, il existe une tonne de compléments alimentaires en pharmacie. Ils attirent l'œil par leurs couleurs et leurs belles promesses (souvent abusives). 

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Dans le lot : brûleurs de graisses, coupe-faim, draineurs minceur… 

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Ce qu’on en pense ? C’est plutôt votre portefeuille qu’ils vont faire maigrir dans l’histoire. Encore une fois, il n’existe pas de pilule magique. Comme pour vos finances, soyez toujours vigilant quand on vous fait miroiter des raccourcis faciles. Des investissements super rentables ou des compléments amincissants : attention red flag !

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Si vous cherchez des solutions naturelles pour un petit coup de pouce, tournez-vous peut-être vers : 

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• Le konjac : une fibre qui gonfle dans l’estomac et réduit l’appétit. Très utile pour calmer les fringales.
  
  
• Le thé vert ou le café : reconnus pour leurs effets drainants et légèrement thermogéniques (ils aideraient à “brûler” un peu plus de calories, mais c’est négligeable).
  
  
• Les probiotiques : certaines souches comme Lactobacillus gasseri sont étudiées pour leur impact sur le métabolisme.

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Alors oui, ça peut aider à soutenir le métabolisme dans une perte de poids, mais on insistera jamais assez sur l’importance d’une alimentation adaptée et d’une activité physique régulière pour maigrir.

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La seule règle d’or pour une perte de poids durable s’appelle le déficit calorique. C’est-à-dire dépenser plus de calories qu’on en consomme au cours d’une journée. Simple à dire, moins facile en pratique.Si vous doutiez qu’il est possible de perdre 10 kilos en 3 mois de cette manière par exemple, on vous a détaillé un plan de route complet.

Perte de poids et médicaments : ce qu’il faut retenir

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Prendre un médicament pour maigrir, ce n’est pas “tricher” si votre médecin le prescrit. 

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C’est au contraire se donner une chance supplémentaire de retrouver sa santé, son énergie et sa confiance en soi. 

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On a vu que les options médicales sont réservées aux personnes en situation d’obésité ou qui ont des complications de santé. 

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Peut-être que c’est votre cas et vous faites bien de vous renseigner pour ne pas prendre ça à la légère. Dans tous les cas, les professionnels de santé sont les seuls décisionnaires pour prescrire les médicaments que l’on a évoqué ici.

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Point important : n’essayez pas d’acheter de l’ozempic ou autre médicament en ligne. Même si les avis sont parfois positifs, c’est souvent mensonger, manipulatoire et une prise de risque énorme pour votre santé.

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Qu’elles soient chirurgicales ou naturelles, d’autres alternatives aux médicaments existent aussi. Mais aucune solution durable ne remplacera un travail sur l’alimentation, le mouvement et le sommeil. 

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Voyez plutôt ça comme une aide pour changer votre mode de vie, pas une pilule miracle. :)